Type de texte | source |
---|---|
Titre | Discours prononcé à l’Académie française, le 27 juin 1699, lorsqu’il y fut reçu à la place de M Racine |
Auteurs | Valincour, Jean-Baptiste-Henri de |
Date de rédaction | |
Date de publication originale | 1699 |
Titre traduit | |
Auteurs de la traduction | |
Date de traduction | |
Date d'édition moderne ou de réédition | |
Editeur moderne | |
Date de reprint |
, p. 7-8
Et tandis que Corneille peignait ses caractères d’après l’idée de la grandeur romaine qu’il a le premier mis en œuvre avec tant de succès, formait ses figures plus grandes que le naturel, mais nobles, hardies, admirables dans toutes leurs proportions, tandis que les spectateurs entraînés hors d’eux-mêmes semblaient n’avoir plus d’âme que pour admirer la richesse de ses expressions, la noblesse de ses sentiments, et la manière impérieuse dont il maniait la raison humaine.
Dans :Le portrait ressemblant et plus beau(Lien)